lunes, octubre 22, 2012

Nueva edición del libro de Raimon Arola, LA CÁBALA Y LA ALQUIMIA EN LA TRADICIÓN ESPIRITUAL DE OCCIDENTE


Libro magnífico y recomendable, donde se manifiesta algo más que la simple historia de la Alquimia
ÍNDICE COMPLETO DE 
“LA CÁBALA Y LA ALQUIMIA EN LA TRADICIÓN ESPIRITUAL DE OCCIDENTE. SS. XV-XVII”

Palabras preliminares
Lola Josa
Prefacio
La leyenda de Nicolas Flamel, p. 9
1. Introducción
1. La Cabala Chymica de Franz Kieser, p. 19
2. Los dos sentidos del término cábala, p. 35
3. Aproximación al término alquimia, p. 47
4. El lugar de Dios, p. 59

2. Apuntes históricos sobre la cábala alquímica
1. La cábala cristiana, p. 67
Magia y bendición. Pico della Mirandola, p. 71
El Nombre del Mesías. Johannes Reuchli, p. 85
La fuerza operativa de la cábala. Agrippa von N. , p. 93
El hermetismo filosófico. Corpus Hermeticum, p. 107

2. La tradición alquímica, p. 121
El origen. Hermes Trismegisto, p. 125
Naturaleza se alegra en Naturaleza. Demócrito, p. 143
La resurrección de los metales. Aurora consurgens, p. 155
El arte de las combinaciones. Ramon Llull, p. 173

3. La unión explícita, p. 187
El oro cabalístico. Voarchadumia, p. 189
Curar y regenerar. Paracelso, p. 201
La fraternidad invisible. Christian Rosenkreutz, p. 215
El reino del Espíritu Santo. Elías-artísta , p. 227
El fuego y la sal. Blaise de Vigenère, p. 237
El jeroglífico indiviso. John Dee, p. 253
El oratorio y el laboratorio. Heinrich Khunrath, p. 267
Arquitectura cabalística. El Escorial , p. 281

4. El legado, p. 303
Las palabras y las cosas. Jacob Böhme, p. 307
Oro sano bendiciendo. Basile Valentin, p. 319
La luz química. El Cosmopolita, p. 333
Interpretación hermética de las Escrituras. Jean d’Espagnet , p.. 349
Las imágenes cabalísticas. Robert Fludd, p. 365
La iconografía hermética. Michael Maier, p. 381
El espejo y la visión. Johann Grasshoff, p. 395
El cielo terrestre. Eugenius Philalethes, p. 413

Postfacio
El reencuentro de Louis Cattiaux, p. 429

Apéndice
«Rehaz el barro y cuécelo. Reflexiones sobre la cábala quymica»
Emm. d'Hooghvorst , p. 439

Bibliografía
A. Fuentes, p. 443
B. Ensayos, p. 451


domingo, octubre 14, 2012

Nueva edición en BEYAEDITIONS


QUESTIONS HOMÉRIQUES   
HANS VAN KASTEEL
Les commentaires sur le grand Homère sont légion, cependant très inégaux en qualité. Les débordements littéraires et superficiels ont achevé de transformer jusqu’à nos jours sa momie pour en faire le splendide ornement de salon que nous connaissons.

Selon Anatole France, « à l’heure actuelle, nous n’entendons pas un seul vers de l’Iliade [...] dans le sens qui y était attaché primitivement ». Qui se souvient encore de la définition de Rabelais : « Homère, père de toute philosophie » ?

« Il faut donc envisager dans les ouvrages d’Homère [...] un sens hiéroglyphique ou allégorique, qui voile les plus grands secrets de la physique et de la nature. Les seuls philosophes naturalistes, et ceux qui sont au fait de la science hermétique par théorie bien méditée, ou par pratique, sont en état de le comprendre. Ils admirent dans ses ouvrages mille choses qui les frappent et les saisissent d’admiration, pendant que les autres les passent et n’en sont point touchés. » (A.-J. Pernety)

Seul est habilité à commenter valablement le texte d’Homère celui qui a saisi la vérité cachée derrière les dires menteurs de sa mythologie.

« Il s’agit le plus souvent d’un enseignement d’ordre physique, et Proclus, définissant l’interprétation allégorique, déclare que “l’on y fait des phénomènes physiques l’objet dernier des significations cachées dans les mythes”. Mais la théologie y trouve aussi sa place. » (J. Pépin)

Le lecteur trouvera, dans le présent ouvrage, un très large éventail des commentaires les plus intéressants sur l’œuvre d’Homère, principalement orientés vers le sens physique et théologique de ses poèmes.

En empruntant à Porphyre, pour intituler ce florilège, l’expression « questions homériques », nous entendons lui rendre son titre de noblesse. Il ne s’agit pas tant de savoir si l’Iliade et l’Odyssée sont l’œuvre d’un seul poète ou de plusieurs, ni si le nom d’Homère s’applique à un personnage historiquement existant ou non, que de percevoir l’intention de l’